Présentation
Alors que sa jambe paralysée devrait l’exclure de tout, Grigris, 25 ans, se rêve en danseur. Un défi. Mais son rêve se brise lorsque son oncle tombe gravement malade. Pour le sauver, il décide de travailler pour des trafiquants d’essence… « C’est le cinéaste de la jeunesse africaine sacrifiée : deux ans après le Prix du Jury pour Un homme qui crie, tragédie de la guerre civile, le Tchadien Mahamat-Saleh Haroun retrouve la compétition avec Grigris – et il est le seul représentant de son continent en sélection officielle. Le film porte le nom de son héros, jeune habitant des quartiers pauvres de N’Djamena, que sa jambe gauche atrophiée n’empêche pas d’improviser des chorégraphies électriques dans les night-clubs de la ville. » Aurélien Ferenczi (Télérama)